Infections et maladies neurodégénératives
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Infections et maladies neurodégénératives

Les infections représentent le premier motif d’hospitalisation et la 3e cause de mortalité. Elles ne doivent jamais être négligées, d’autant plus chez une personne atteinte d’une maladie neurodégénérative.  Quelles sont les conséquences d'une infection chez une personne âgée ? Chez une personne âgée, les infections sont beaucoup plus fréquentes que chez une personne plus jeune. Elles sont graves car elles surviennent dans un organisme déjà fragilisé et vont encore l’affaiblir.  Les défenses immunitaires faiblissent, ce qui rend la personne âgée plus sujette aux bactéries, aux virus et aux champignons/levures ; La réduction de la mobilité favorise la constipation ; L’utilisation de changes/protections et l’hygiène difficile à assurer créent souvent des macérations qui se surinfectent ; La vie en institution collective est un facteur favorisant ; L’inappétence et les difficultés pour s’alimenter (problèmes dentaires au premier plan) causent une malnutrition qui interfère avec l’immunité ; L’hydratation insuffisante implique une concentration des germes dans l’arbre urinaire ; La fièvre est inconstante mais lorsqu’elle est présente, elle peut engendrer une crise convulsive, d’autant plus que le cerveau est fragilisé par une affection…
Les infections représentent le premier motif d’hospitalisation et la 3e cause de mortalité. Elles ne doivent jamais être négligées, d’autant plus chez une personne atteinte d’une maladie neurodégénérative.  Quelles sont les conséquences d'une infection chez une personne âgée ? Chez une personne âgée, les infections sont beaucoup plus fréquentes que chez une personne plus jeune. Elles sont graves car elles…

Les pathologies du vieillissement

La capacité d’un cerveau à résister à la maladie d’Alzheimer dépend de l’importance de sa « réserve cognitive ». Mais de quoi s’agit-il ? Et comment la renforcer ? Qu'est-ce que la réserve cognitive ? La présence de lésions de la maladie d’Alzheimer dans le cerveau ne suffit pas à entrainer immédiatement l’apparition des symptômes de la maladie. Ils pourront ne survenir que 10, 15 ou 20 ans plus tard, voire pas du tout !  Le cerveau résiste d’autant mieux et plus longtemps aux dépôts de protéines anormales caractéristiques de la maladie que les connexions entre ses neurones, développées au fil des années, sont nombreuses. Elles permettent d’optimiser le fonctionnement des réseaux cérébraux existants, et même d’en créer de nouveaux.  Le cerveau peut ainsi fonctionner mieux et de façon plus flexible, devenant capable si nécessaire d’utiliser des stratégies alternatives pour effectuer une même tâche. Pour définir cette capacité, les experts parlent de « réserve cognitive ». Plus elle…
La capacité d’un cerveau à résister à la maladie d’Alzheimer dépend de l’importance de sa « réserve cognitive ». Mais de quoi s’agit-il ? Et comment la renforcer ? Qu'est-ce que la réserve cognitive ? La présence de lésions de la maladie d’Alzheimer dans le cerveau ne suffit pas à entrainer immédiatement…
Les bienfaits des activités physiques adaptées sur la maladie de Parkinson
Group of active senior people doing yoga exercise in community center club.

Les bienfaits des activités physiques adaptées sur la maladie de Parkinson

La maladie de Parkinson affecte le mouvement et s'accompagne de lenteurs, tremblements et raideurs. Adoptant un réflexe d’autoprotection, le malade a tendance à réduire son activité physique, quand au contraire, il faudrait continuer de bouger. Pourquoi continuer à bouger et quelles activités…