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Merci. Il y a un système de pointage à domicile ( macaron avec lequel les aides à domicile pointent.C'est informatisé). Voici mes constats :
- Il y a trois semaines, l'aide à domicile a dit qu'elle ne pouvait pas pointer car le cahier n'était pas là et ce le samedi soir et le dimanche midi. Or ce n'était pas la première fois qu'elle venait et le cahier était à proximité. J'ai fait des photos ( où était le cahier pour le pointage à cote du cahier de liaison) le dimanche soir quand je suis arrivée et les ai envoyé à l'agence, en indiquant ma surprise.
- dimanche dernier, l'aide à domicile devait venir de 11h30 à 12H30. J'ai téléphoné tous les 5 minutes de 11h45 à 12H55 chez ma mère. Personne n'a décroché. A 12H00, l'aide à domicile me téléphone de chez ma mère ( visiblement elle a vu que j’essayais de l'appeler. A 14h30, le téléassistance me contacte. Ma mère l'avait déclenché ( mais ne parlait pas). Je me suis rendue à son domicile et ai constaté que ma mère n'avait pas été recouché et était épuisée et commençait à pencher sur le côté . J'ai téléphoné à la permanence de l'agence pour les en informer. La permanence a reconnu que cela aurait dû être fait et m'a dit que l'aide à domicile avait pointé à son départ à 12h30. J'ai demandé ensuite à la permanence à quelle heure elle avait ponté à son arrivée et ils ont été incapable de ma le dire. Ils m'ont demandé d'en faire la demande directement à l'agence. Pour moi, elle est restée au maximum 30 minutes ( pour lui préparer le repas, la faire manger et la faire boire notamment). J'ai fait un mail le dimanche soir en demandant les éléments de pointage pour avoir l'assurance de la présence car ma mère qui ne peut s’alimenter et s'hydrater seule, ainsi qu'au fait qu'on ne l'ai pas recouché comme prévu. A ce jour, aucune réponse.

Bonjour.Moi, j'ai résolu ce type de problème en exigeant que les auxiliaires de vie m'appellent à leur arrivée et leur départ depuis le téléphone de ma maison où était ma mère (décédé le 23 juillet). Ainsi j'avais la certitude de leur présence et du temps réellement passé ainsi qu'un historique avec le relevé, ce qui permet en plus de savoir comment cela s’est passé et éventuellement de donner des instructions ou de faire certaines mises au point. J'avais aussi installé des caméras qui me permettaient de communiquer avec ma mère et les auxiliaires de vie. Cordialement Michel.

Bonjour
Je ne sais pas si le service était géré par l'ADPA ou par le prestataire mais nous, dans le 84, les prestataires exécutant les prestations ADPA devaient systématiquement appeler un numéro spécialisé pour pointer à l'arrivée et au départ. Ca résolvait automatiquement ce genre de problèmes.
L'offre devient de plus en plus importante et la concurrence devient de plus en plus féroce entre ces sociétés ; menacez donc de faire jouer la concurrence avec un prestataire qui pointe ainsi s'ils ne sont pas capables de respecter les horaires.

Bonjour,
J'ai un peu avancé depuis mon message du 24 juillet. J'ai fait des contrôles par téléphone chez ma mère. personne ne répondant, j'ai téléphoné à la plateforme, etc... Les retards parfois de 2 heures sont établis ( au prix d'un épuisement important pour moi, mais bon !)

J'ai aussi installé une caméra de surveillance dans les règles de l'art : devant la porte pour enregistrer les entrée et les sorties avec horodatage. des SMS, des mails et deux affichettes au domicile de ma mère pour informer de la vidéosurveillance.

Maintenant, j'ai un problème avec un infirmier remplaçant ( dont le comportement par ailleurs ne semble douteux) qui neutralise la caméra à son arrivée. Je lui ai dit d’arrêter qu'il n'avait pas le droit de le faire ; les aides à domicile ont acté la situation sans problème et l’infirmier "titulaire" fait un peu la tête, mais il n'y touche pas.

Quelles sont mes moyens de recours si l'infirmier remplaçant continue à neutraliser la caméra ?
Merci par avance

Bonjour, Bifl votre témoignage me rappelle ce que ma mère a vécu lorsqu'elle résidait seule chez elle avec l'aide des auxiliaires d'un prestataire.

Il y avait un tel turnover que les réclamations restèrent vaines, voire inutiles car la raison était parfois juste un planning intenable (par exemple devoir traverser toute la (gde) ville en transport en commun, entre deux prestations. Outre la difficulté d'arriver à l'heure, il fallait en plus arriver zen pour éviter autant que possible les fausses routes. Voilà pourquoi après des repas, ma mère se mettait tout à coup à sifflait en respirant...

Pour moi la solution passe avant tout par des auxiliaires qui ont ENVIE de faire ce métier difficile et par des conditions les meilleures possibles pour elles. Oui, c'est beaucoup demander... Pour les cabinets infirmiers, c'est encore une autre histoire.

Bon courage pour la suite, pour votre maman et pour vous.