Bonjour votre article mettant en résumé , d'une façon général
l'acte d'être aidant d'un proche , est très exact
dans la mesure ou ceci n'est pas un droit légal meme si l'aide par des soins peut être entrante dans le soutient a un parent en terme aide alimentaire mais non reconnu en tant que droit , ceci entre en la personne dans un devoir moral d'aide a un proche a un soutient familial .
D'où , des tensions au sein des familles souvent sur des fratries ou plusieurs frère et soeur sont dispersés ou relativement proche
dont un seul se retrouve a tout devoir faire !
Par conséquent ceci n'est pas un droit , et pour certains selon la situation familiale non plus un devoir .
En gardant un sens humain , ceci est un devoir naturel ,
d'aider une autre personne en faiblesse , cela le vaut d'autant plus qu'il s'agisse d'un parent père ou mère ou d'un proche frère ou soeur , ou d'amis également
être aidant familial qu'est ce exactement , ici nous sommes a intervenir auprès de nos familles , sous le terme aidant familial apportant confusion avec une activité professionnelle étant celle proche d'auxillaire de vie , comment dénommer l'aidant d'un proche
aidant naturel familial ceci est car la confusion en prime abord est souvent par les service sociaux , le point fait , le dialogue change
itoo avec les services médicaux
l'aidant sur l'activité est a accompagner une personne avec encore une autonomie même très légère , sur ces actes de tous les jours si seule chez elle , ou a effectuer des taches de soins a la personne non médicaux comme faire le lit , lever la personne lui faire sa toilette l'habiller et veiller a son alimentation et l'aider a manger ceci si son autonomie est altérée par un handicap , ou par alzheimer ou syndorme ou en état démence
Sur un état normal mais présentant une démence , dont la personne n'a pas notion se porte aussi dans le déni et le confusionnel ,
l'aidant devra être un major d'homme soit celui qui doit prévoir
et assurer que rien ne manque si l'aidé est en indépendance et peut faire encore les actes quotidiens seuls de sa vie soit toilettes manger se lever dormir shabiller , aller aux toilettes si ce dernier peut encore exprimer sa volonté et l'emettre et communiquer
cela apportera une ouverture pour communiquer plus facilement avec la personne aidée selon !
si la personne aidée est d ans un enfermement sur elle , tout en étant encore avec de l'autonomie , l'aidant ici ne pourra faire que tout ce qu'il est en son pouvoir et ses moyen , ce cas de figure étant que la personne est en dehors de tout , et n'exprime plus aucune volonté , de ce fait rendant difficile certains actes administratifs demandant son accord car souvent la mise sous curatelle est difficile
ceci est proche d'un aidé en, refus total de tout , l'aidant devra établir une forme de vie allant au cas par cas mais avec difficultés
pour établir prévision provision alimentaire selon le mode changeant et non accepté car venant de l'aidant , ceci vaut pour les horaires de vie et voire activités proposées , l'aidant n'acceptant pas la compagnie mais la souhaitant ! (lol) , soit toute la gestiond e la maison de l'aidant entravée indirectement par une violence dite passive mettant des formes de contraintes a l'aidant soit ce dernier passe par derrière sans tenir compte de cet état , mais fait au mieux , soit il s'abandonne a la volonté de l'aidé au risque de tourner en bourrique au final et y laisser sa santé
avec sur cette situation aucune aide possible sociale médicale
tant pour l'aidé que pour lui meme car refus total met la volonté de la pesonne a refuser toutes consultes et suivi santé chez le medecin
soit aucun certificat ouvrant pour elle meme a des aides externes apportant un échange en communication , ou autre , ou l'aidé prefére rester seul et tranquilles quoi qu'il advienne laissant tout partir car ne gérant plus rien
le role de l'aidant sur ces deux dernier cas de figure relève d'un protocole de communication spécifique , car les aidés , ont une forme d'enfermement sur elle meme , pour les refus total ou anosognosie
ceci est lié au fait de l'absence de suivi médical , pas de medecin attitré , aucun soins cela donc passe aussi par l'ouie laquelle fait souvent défaut et la vue si cataracte cela change la personne
et met en déroute l'aidant le comportement connu d'un proche étant tout autre apportant une déroute totale en lien de communication
parfait avant l'aidant devient presque etranger a l'aidé
ceci relève donc d'une forme protocolaire de communication que des medecins ont , et un accompagnement par ces derniers au aidants pour éviter le placement relevant des hopitaux psy en gériatrie et non de ephad , ceci étant violent en placement , car mettant la personne repliée sur elle meme dans un environnement totalement étranger du jour au lendemain
si pour aider les aidants sur ce cadre d'aide salarié surement formation , mais ceux des proches , surtout la confiance elle étant encore présente , si communication absente ou disparue , le maintient domicile jusqu'au paroxysme de la démence est possible a l'aidant
par un suivi technique ! soit sur rendez vous mensuel en café des aidant ou sur du distanciel par internet via visio
ceci aiderait déjà permettant d'élaborer des protocoles communication pour établie un lien d 'échange , et emettre des informations necessaires et utiles ou urgentes au proche , voir lui faire état de la necessité de se faire suivre par un medecin non pour être placé souvent ceci est la forme de blocage , mais tout simplement pour être suivi si en bonne santé tout est en ordre parfait rien d'autre
Vous souhaitant bonne réception sur ce retour d'article sur ma vision de mon role d'aidant d'un proche donc n'étant pas employé en tant qu'aidant familial , sur un proche en état de d émence sous la forme de l'anosognosie soit la perte de notions en tout engeandrant de ce fait le refus , et le deni et aussi la confusion sur certains actes effectués ou a faire , et sur celle du temps . l'espace va encore
d'ou le refus de ne pas vouloir sortir par peur de ne plus reconnaitre son environnement