La place des aidants dans la fin de vie de leur proche

La loi votée en 2016 a permis de renforcer les droits des personnes malades et des personnes en fin de vie, de clarifier les conditions d’arrêt des traitements et de prévoir un système dont le maître mot est « anticiper ». La décision de la personne malade s’impose aux médecins à condition qu’elle soit exprimée. Celle de faire entrer le malade en soins palliatifs est une décision collégiale qui relève exclusivement de la responsabilité médicale. Comment est-elle prononcée, s’agissant d’un acte juridique qui doit respecter la loi exprimée dans le code de la santé publique ? Que prévoit la loi sur la fin de vie ? Toute personne a le droit de refuser d’entreprendre des traitements même s’ils doivent abréger sa vie. Dans ce cas, elle peut même refuser les examens médicaux, refuser d’entendre le diagnostic et les actes de prévention. Le médecin doit l’informer des conséquences de son refus et lui proposer d’obtenir un…
La loi votée en 2016 a permis de renforcer les droits des personnes malades et des personnes en fin de vie, de clarifier les conditions d’arrêt des traitements et de prévoir un système dont le maître mot est « anticiper ». La décision de la personne malade s’impose aux médecins…
L’épilepsie chez la personne âgée
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L’épilepsie chez la personne âgée

Une crise épileptique n'implique pas forcément une perte de connaissance ou des convulsions. Dès la deuxième crise éventuelle, ressemblant souvent à la première, il faut traiter pour prévenir des chutes fracturaires. Même si, jusqu'à 80 ans, on a 97% de chance de ne pas avoir d'épilepsie, à quoi est-elle due ? Avec quelles conséquences ? Comment repérer une crise ?  Qu'est-ce qu'une crise d'épilepsie ? Soudainement, certains neurones hyperactifs provoquent des anomalies constituant une crise, parfois précédée d'autres troubles (nommés aura, par exemple perception d'odeur étrange, hallucinations).  Elle reste souvent, chez la personne âgée, localisée à une zone cérébrale : la crise est « partielle », soit simple (la personne se souvient de tout) soit complexe. Elle peut diffuser à d'autres zones, elle devient alors « généralisée ».  Elle est brève : moins de trente minutes s'il n'y a pas de perte de connaissance suivie de convulsions, sinon moins de 5 minutes.  Chez la personne âgée, les…
Une crise épileptique n'implique pas forcément une perte de connaissance ou des convulsions. Dès la deuxième crise éventuelle, ressemblant souvent à la première, il faut traiter pour prévenir des chutes fracturaires. Même si, jusqu'à 80 ans, on a 97% de chance de ne pas avoir d'épilepsie, à quoi est-elle due…
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