Face à une personne atteinte d’une pathologie neurodégénérative telle que la maladie d’Alzheimer ou troubles apparentés, les atteintes cognitives et les comportements qu’elle entraine, déroutent les proches aidants. Et parfois, les mots sortent vite, trop vite. C’est pourquoi nous vous proposons un lexique bien utile pour répondre à diverses situations et pour s’exercer à la pratique des mots. Devant certaines situations ou certains comportements, les mots sont parfois inadaptés. On les regrette et ce, des deux côtés. S’ensuit le cercle de l’incompréhension mutuelle, avec son cortège de culpabilité, de chagrin, de révolte et de nouveaux blocages… Les adeptes des philosophies de soin humanistes recommandent un usage précis des mots. Leur choix n’est pas anodin et leur contenu se colore de notre façon de les dire, du ton employé, du regard qui les accompagne, d’une qualité de lien à l’autre et, au final, de la posture adoptée. La personne malade le ressent alors au plus profond d’elle-même. Ne jamais oublier que le silence est une forme de parole : ne dit-on pas…
Face à une personne atteinte d’une pathologie neurodégénérative telle que la maladie d’Alzheimer ou troubles apparentés, les atteintes cognitives et les comportements qu’elle entraine, déroutent les proches aidants. Et parfois, les mots sortent vite, trop vite. C’est pourquoi nous vous proposons un lexique bien utile pour répondre à diverses situations…