Refus des repas par la personne âgée démente à domicile : comprendre pour mieux aider

Il arrive que les personnes âgées démentes à domicile refusent de s’alimenter. Ce refus progressif est une alerte. En effet, les conséquences peuvent être dramatiques pour la qualité de vie et la poursuite du maintien à domicile de la personne. Quelles sont les raisons et les conséquences de ces refus ? Quelles astuces concrètes les aidants peuvent-ils mettre en place afin de mieux communiquer avec leur proche ? Pourquoi ce refus ? Outre diverses raisons observables chez les personnes âgées non démentes, la démence à elle seule peut expliquer ce refus. Par exemple : Oubli des repas, de ne rien avoir à manger (oubli des courses).Repas perçus comme inconfortables donc redoutés : trop rapidement donnés, changements d'aidant trop fréquents, troubles de déglutition, plats tièdes par un repas plus long , infantilisation (elle ne manie plus ses couverts), environnement sensoriel inadapté (éclairage trop puissant, bruits des machines à laver qui intriguent, repas distrait par la télévision…).Un délire de persécution («…
Il arrive que les personnes âgées démentes à domicile refusent de s’alimenter. Ce refus progressif est une alerte. En effet, les conséquences peuvent être dramatiques pour la qualité de vie et la poursuite du maintien à domicile de la personne. Quelles sont les raisons et les conséquences de ces refus…

Alimentation des personnes âgées à domicile et aidants : les rations idéales

Quand elles ne bénéficient pas d’une aide à domicile préparant les repas ou du portage des repas, 30 % des personnes âgées n'ont pas une ration journalière équilibrée, alors qu’en moyenne, 90 % d’entre elles estiment manger suffisamment. Quels sont les signes d'alerte avant la dénutrition ? Quelle…

« Et si mon proche malade s’attachait affectivement à d’autres que moi ? »

La dépendance s’aggravant, un aidant doit souvent faire appel à des aides extérieures, ou mettre son proche en institution.  L’aidant, qui jusqu’alors avait offert une présence, un dévouement « suffisamment bons » afin d’assurer un accompagnement de qualité se trouve, en présence des aides au domicile ou en institution, face à un questionnement très douloureux quant à son rôle. Et quand la personne malade semble apprécier les autres plus que son proche, une angoisse majeure et légitime de perte de lien « aidant-aidé » va surgir.  Des incontournables : les besoins fondamentaux de la personne Si une personne atteinte d’une maladie neurodégénérative cérébrale n’a plus les moyens d’exprimer ses besoins, ils sont tout de même présents et la personne les ressent. En effet, ils sont communs à tout être humain et ont été définis de façon stricte, entre autre, par Abraham Maslow.  Il s’agit de :  Besoins physiologiques : hygiène, boire, manger, dormir Besoins de…
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Nos proches et la publicité : comment les protéger et lutter contre le démarchage à domicile ?

Nos aînés reçoivent parfois des encarts publicitaires dans leurs journaux préférés ou sont démarchées par téléphone après avoir répondu à des sollicitations, attirées par la promesse de cadeaux. Certains voyages de seniors organisés par les mairies leur permettent aussi d'être mis en contact avec des commerçants qui conservent ensuite leur adresse et leur envoient…
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